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alexis de tocquesoumis

Education d'un novice - séance 1


“Autant que savoir, douter me plaît.” Est-ce un hasard si allongé sur le canapé de Maitresse aXelle, cette divine (comédie) pensée me vint à l’esprit… C’était ma première séance, 60 minutes qui m’ont appris que je ne savais rien de ce monde qui me faisait et fait toujours fantasmer.

Mais il faudrait revenir un peu en arrière, si nous voulons comprendre mon état d’esprit une fois allongé sur ce canapé.

Etant novice je ne savais pas trop à quoi m’attendre lorsque rendez-vous fut pris avec Maitresse aXelle.

J’avais rempli la fameuse liste des possibles où pour la première fois je me livré sans retenue à une inconnue. Après deux échanges par mail, nous convînmes d’un rendez-vous. Seul impératif avant la rencontre : un devoir d’abstinence d'une semaine si j’en étais capable (bien sur).

L’esprit humain est ainsi fait que lorsqu’un défi vous est lancé il est très dur de refuser. J’ai donc passé une semaine complexe, tiraillé entre mon excitation de chaque jour et cette promesse que j’avais faite de ne pas laisser jaillir mon fluide, fluide qui avait pris l’habitude de se répandre dès que l’excitation me venait. Premier défi psychologique, qui déjà me mettait en position d’infériorité et de soumission.

Je dois avouer que malgré la rudesse de cette contrainte, je prenais un certain plaisir à obéir ; même à distance ; à cette Femme qui était encore pour moi un mystère, une arlésienne qu’il me tardait de rencontrer.

Enfin la semaine passa, nous étions lundi et j’avais rendez-vous à 14h00. Je suivis les instructions de Maitresse au téléphone et enfin je me trouvais en face de sa porte. En appuyant sur la sonnette j’avais le cœur battant la marche impériale, mon rythme cardiaque augmentait à mesure que j’entendais le bruit des talons de Maitresse aXelle se rapprochant de la porte. Soudain plus un bruit.

La porte s’ouvrit et enfin la silhouette qui hantait mes nuits depuis une semaine était là, en face de moi. Une Femme à la beauté fauve, une allure suave, un maintien félin, le tout habillé d’une robe noire à damner un saint (Maitresse aXelle est un fantasme vivant).

Maitresse m’invita à rentrer dans son donjon, et après lui avoir offert un modeste présent qui j’espère lui a plu, nous commençâmes la séance.

Le ton était donné, je devais me mettre tout nu. Chose assez simple en théorie, mais lorsque vous êtes seul à vous dévêtir vous ressentez comme une gêne très forte à mesure ou vous vous déshabillez, vous vous sentez un peu humilié (ce qui me plut assez).

Je rejoins donc Maitresse au centre de la pièce nu et complètement à sa merci.

Je pensais que j’allais subir immédiatement le courroux de ma Maitresse et je fus désarmé par l’entrée en matière.

Maitresse aXelle commença par me toucher se rapprochant de mon corps, me palpant, m’embrassant, me susurrant des mots à l’oreille. Au moment où sa main effleura mes bourses je sentis mon pénis tripler de volume. Je ne savais plus ou j’étais, je sentis immédiatement l’emprise que Maitresse avait sur moi rien qu’en me touchant et me chuchotant des mots à l’oreille : « Tu es là pour mon plaisir et ton corps m’appartient ».

Je sentais mon gland prêt à exploser à l’écoute de ses paroles.

Maitresse m’expliqua les règles de base des séances ainsi que les safe words.

Le thème de notre première séance allait être : l’humiliation car telle est mon inclination selon ma liste des possibles.

Après m’avoir noué autour du coup un collier, comme un bon chien Maitresse m’ordonna de me mettre à genoux et de lui embrasser ses pieds chaussés, ce que je fis immédiatement avec un immense plaisir. Pendant que je faisais honneur à ses pieds, maitresse me touchait, me palper les fesses, me disant que mon cul lui faisait envie.

Je fus ensuite trainé comme un toutou en laisse jusqu’au canapé.

Maitresse se pencha pour mettre en ordre le canapé et c’est là que je vis qu’elle ne portait pas de culotte. J’ai immédiatement imaginé ma tête se frottant à ses fesses rondes et parfaites, une image qui ne me quittera pas de toute la séance.

Puis Maitresse m’ordonna de me mettre à genoux devant elle et c’est là qu’elle s’aperçut que j’avais taché sa robe. En effet au début lorsque Maitresse me faisait face en corps à corps, ma verge était raide comme une saillie et j’ai laissé des traces de mon excitation.

J’étais confus et à la fois excité quand Maitresse me demanda de me mettre sur ses genoux pour être puni. S’en suivit une séance de fessée, qui heureusement pour moi ne fut pas trop douloureuse. Pendant cette salve de fessées, j’avais l’impression de redevenir un petit garçon, recevant sa correction. Sauf que cette fois, le garçon était nu et bandait comme Priape.

J’eu le droit ensuite d’être attaché sur une croix les yeux bandés pour une séance de teasing qui s’annonçait aussi agréable que douloureuse. Le but étant de ne pas jouir, sauf si maitresse m’en donnait l’autorisation. Pour couronner le tout, je n’avais pas le droit à la parole. Je ne pouvais cacher mon excitation.

Maitresse noua une cordelette autour de mon sexe et commença à me toucher. Tout en n’arrêtant jamais de me susurrer des mots à l’oreille, ce qui je dois l’avouer me rendait fou d’excitation.

Ayant les yeux couvert d’un foulard, je ne voyais rien, je savais seulement que mon sexe était raide comme jamais. C’est alors que je sentis sur mon gland une vibration, c’était un vibromasseur, je pense. Au début, je n’avais pas de problème pour me retenir. Mais entre les va-et-vients de cet appareil sur mon sexe et les mots chuchotés par Maitresses aXelle dans mon oreille, j’avais de plus en plus de mal à ne pas me répandre sur sa robe.

Outre le mélange plaisir et douleur du vibromasseur, il fallait gérer les insultes et autres remarques de Maitresse, sur la taille de mon sexe qui m’excitaient tout autant que le vibromasseur.

D’autant plus qu’une semaine d’abstinence n’allait pas m’aider dans cette tâche. Plus je résistais, plus Maitresse jouait de talent et de perversion pour me faire jouir, allant jusqu'à retirer mon bandeau pour me montrer mon sexe et le sien séparés seulement par un gode vibrant. J’avais de plus en plus de mal à ne pas jouir mais je résistais.

Enfin Maitresse stoppa, elle semblait satisfaite de ma résistance. Se faisant elle me dit que j’avais mérité une récompense.

Elle m’ordonna de me mettre à genoux et d’embrasser ses pieds comme le bon chien que j’étais. Cette fois, elle se déchaussa et mon excitation n’en fut que plus grande. Maitresse a des plantes de pieds magnifiques, de grands pieds comme j’aime. Je ne pouvais plus m’arrêter de les lécher et de les embrasser. Pendant que je m’occupais de ses divins pieds, Maitresse jouait avec mon anus.

Etant novice je n’ai jamais laissé personne s’approcher de cette zone jusqu'à présent. Mais obsédé que j’étais par ses pieds, je n’ai pas vu arriver le doigt de maitresse s’enfonçant dans ma rondelle. Maitresse était en moi et cela m’excita beaucoup. Maitresse faisait des va-et-vients avec son ou ses doigts (je dois dire qu’avec l’excitation du moment je ne sais plus).

Soudain Maitresse m’ordonna de bien me cambrer comme la chienne que j’étais, jouant toujours avec mon anus. A ce moment-là je me sentis totalement lui appartenir et j’ai même pensé qu’elle allait me pénétrer avec un gode, je pense que si tel avait était le cas je me serais offert à sa volonté tellement sur le moment elle m’avait en son pouvoir. Mais ce n’était pas au programme.

Maitresse m’ordonna de m’allonger sur le sol et la commença la partie la plus difficile. Maitresse était assise sur la table a côté, ses pieds sur mon corps. J’étais dans un état d’excitation comme jamais dans ma vie. Un pied sur mon visage l’autre sur mon sexe, j’étais à la limite de l’explosion. Je faisais de mon mieux pour résister, mais c’était presque impossible, son pied sur mon sexe me faisait sentir tout le fluide prêt à jaillir et son autre pied sur mon visage ne faisait qu’accroitre cette tension sexuelle qui ne pouvait s’exprimer sans le consentement de Maitresse.

Au bout d’un moment Maitresse se leva, me cracha dessus et m’attacha sa chaussure sur la tête. Elle se place en face de moi et commença un footjob. Tellement bon, mais tellement horrible quand vous ne pouvez vous laisser aller.

Elle recommença la manouvre cette fois-si derrière moi, ma tête prise entre ses jambes. Je pouvais sentir ses cuisses et je repensais de nouveau au fait qu’elle n’avait pas de culotte. J’aurais, je pense, explosé si elle s’était assise sur mon visage.

Maitresse m’ordonna ensuite de me masturber tout en la regardant, car c’est pour elle que je me masturbe et pas pour moi. L’exercice fut presque impossible lorsque Maitresse se plaça au-dessus de moi, la vue de ses fesses et de son sexe augmenta mon excitation et je dus ralentir ma masturbation pour ne pas éjaculer comme un incapable.

J’étais à deux doigts de l’éjaculation quand Maitresse m’accorda 30 secondes pour me répandre.

En 5 secondes je jouissais comme jamais dans ma vie je n’avais joui. Un plaisir qu’aucun synonyme ne pourrait qualifier correctement.

Maitresse utilisa ensuite ses pieds pour récolter ma semence et me la faire lécher. J’ai obéi car cela m’excitait et m’excite encore à l’heure où j’écris ces quelques lignes.

C’est ensuite que je me suis allongé sur le canapé avec Maitresse, me caressant et m’aidant à me détendre après cette séance hors du temps.

J’étais comme en transe, Maitresse aXelle m’a hypnotisé avec son corps et ses mots. Je fus sien et j’ai envie de l’être encore.

Je doute comme je vous le disais, je doute de moi. Maitresse aXelle m’a fait découvrir une partie de moi que je cachais jusqu'à présent. Une partie que je pensais simple fantasme et je me rends compte que c’est bien plus.

J’étais la chose de Maitresse aXelle, son bon chien et j’ai toujours envie de l’être et de recevoir une éducation de sa part.

Maitresse aXelle dans une danse hypnotique, vous fait voir votre vraie nature. Elle danse avec vos désirs et ébranle vos certitudes. Se soumettre à elle est une libération, être en son pouvoir un plaisir qu’on voudrait durer toute la vie.

Alexis de toquesoumis

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