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  • Kuncike

Marathon sodomite de dépucelage

C’était il y a déjà un mois, après quelques échanges de correspondance, ma « wish list » complétée avec précision, mais pas sans d’appréhension, ni émotion, que je reçois ma convocation pour une immersion dans le « terrier », endroit à la fois rêver et fantasmer, mais bien décidé à ne pas décevoir Maîtresse.

Pour cette première, je m’étais préparé avec sérieux, abstinence sexuelle pendant 24 h, légèrement épilé, propre de bout en bout, voire de fond en comble, habillé d’un string en dentelle. Je n’avais rien au laisser hasard pour me présenter en petite chienne docile, prête pour un baptême dans les mains expertes de Maîtresse !

A l’heure précise, je sonne, écoute les quelques consignes, et me dirige vers la porte du « Terrier », envahi de stress mais déjà excité. Je découvre le terrier de l’intérieur, l’escalier, le rideau, le décor, les outils, la croix St André, la table de gynéco, qui n’ait pas descendu dans le terrier ne connait pas ce parcours envoutant, mais pour le novice que j’étais, un peu angoissant.

Me voici devant Maîtresse, élégante, sexy, beauté fatale et autoritaire, en quelques mots je suis sous son charme et son emprise. J’obéis aux ordres, j’enlève mes affaires, garde mon string et me présente à maîtresse, paniquer à l’idée de la décevoir. « Ça me plait beaucoup Kuncike, j’aime quand mes soumis font des efforts ! ». Il n’en fallait pas plus pour me soulager, et m’exciter à nouveau. Maîtresse s’approche de moi, me glisse dans l’oreille les « safe word », je sens ses mains dans mon dos, descendent sur mes fesses, effleurées mes cuisses, aucune partie de mon corps n’échappe à son examen. Mon sexe est déjà gonflé dans mon string devenu incapable de le maintenir caché !

Ses ordres se font maintenant plus précis, et je me retrouve allonger sur les genoux de Maitresse, pour ma première fessée de soumis. Pas le temps d’apprécier l’absence de culotte et la beauté de l’entre-jambe de Maitresse, que je sens déjà ses mains claquées, je devine mes fesses déjà rouges, c’est parfois douloureux mais je résiste. Puis arrive ce moment délicieux ou Maîtresse descend mon string jusqu’au mollets, fesses offertes et sexe libéré, jamais je n’ai autant aimé une fessée !

« Suis moi maintenant, je vais t’examiner en profondeur ! » je m’exécute et me retrouve sur la table de Gynéco, pieds attachés, jambes écartées, anus offert aux mains de Maîtresse. Mon cœur bat, ma respiration s’accélère, l’excitation a laissé la place à l’inconnu ! Je sens ses mains me préparer, mon cul lui appartient, je me donne, je me livre, je sens un doigt glissé, puis deux ou peut-être plus, elle me fouille, les allers et retours s’accélèrent, c’est bon, je me cambre, je me surprends à aimer cela, Maîtresse devine que j’en veux encore, et que je suis prêt à être défoncé. J’ouvre les yeux pour profiter de sa beauté, ses seins magnifiques, son porte-jarretelles, elle s’approche, se glisse entre mes cuisses, le gode a remplacé ses doigts, elle me prend, elle s’enfonce, je voudrais m’accrocher à son porte-jarretelles mais c’est impossible, la table fera l’affaire, je sens le gode au fond de moi, je ferme les yeux, et découvre ce plaisir inconnu jusqu’alors, celui d’être sodomisé. Mon anus ouvert et détendu, Maîtresse me retourne, elle me fait écarter mes jambes pour mieux me posséder, je sens ses mains qui me tiennent les hanches, elle me pénètre à nouveau, gode totalement enfoncé, je suis sa petite chienne, j’en redemande, je me laisse aller, je m’enfonce, je gémis de douleur et de plaisir.

Me voici maintenant assis sur une chaise, jambes écartées et attachés, les yeux bandés. Étrange impression que de ne rien voir, mais de tout entendre. Maitresse est là, je la devine entre mes jambes, je sens ses mains attraper mon sexe, serrer mes testicules, supplice magnifique, elle s’amuse de mon excitation, je me retiens de jouir, impossible sans l’autorisation, je supplie maîtresse de me répandre, et de me libérer. Vidé,, ses mains continuent de me traire, me dégorger, j’ai mal, mais je suis heureux.

Moment de répit, de douceur, bercé par un morceau de Debussy, je reprends mes esprit et reviens doucement à la réalité. Puceau que j’étais, j’ai déjà hâte de me retrouver à nouveau dans le terrier, et continuer mon éducation de soumis.

Kuncike

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