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La sissy qui se rêvait pute

Dernière mise à jour : 5 août 2021


Après une semaine pendant laquelle Maitresse m'a donné des ordres par mail, enfin j'étais convoqué à son domicile. Cette frustration constante de regarder son compte en espérant avoir une invitation ou une réponse à un mail, c'est chiant mais ça fait partie de la relation. Moi, je joue la pute qui attend, qui exécute et qui obéit. Il y a toujours de l'anxiété en arrivant chez Maitresse même si c'est ma 4ème rencontre. J'ai toujours une interrogation sur le programme et la collection sans limite de Maitresse aXelle d'objets de sévices ou de plaisirs.

Arrivé à 13 heures, j'offre à ma Maîtresse ma semence d'une semaine conservée dans un bocal et congelée. Elle est satisfaite, je suis content de recevoir un compliment, et aujourd'hui c'est la fête, elle me dit être une bonne pute et me complimente sur mes comptes-rendus et photos envoyés. Ouah! je jubile en mon fort intérieur sans laisser paraître mes émotions, juste un merci de rigueur.

Aujourd'hui, je dois mettre des chaussures avec talon de 12cm. Je m'applique pour les mettre. Maitresse est sensible à la sensualité de sa pute et j'aime qu'elle soit contente. Je me lève et sans aide, j'arrive à me déplacer non sans difficulté, mais j'essaye de faire des petits pas pour rester sensuel et excitant pour ma Maîtresse. Elle s'assoit sur sa grande chaise en métal et je dois lui crémer les jambes pendant qu'elle m'explique le programme. Ces jambes sont douces et je m'applique pour lui mettre la crême mais aussi la caresser entre les cuisses. Je ne sais pas si elle a apprécié, moi j'ai pris mon pied. Pour ne pas gâcher mon plaisir, j'avais vu sur son sexe, elle ne portait pas de culotte. J'aurais aimé remonter ma main pour lui crêmer aussi le sexe, voir lui lécher mais je n'ai pas osé, elle ne m'a pas invité non plus, dans le doute je suis resté dans mon rôle de pute.

Je l'aide à enfiler son gode ceinture, je suis prêt à m'offrir mais elle décide que je dois laver sa table basse pendant que je me fais sodomiser. Là, je me rends compte que je suis réduis à une femme de ménage abusée par sa Maîtresse sans rien dire, le cul offert comme une bonne salope. D'ailleurs, je dois lui dire que je suis sa pute et sa salope à plusieurs reprises et ça j'adore lui dire !! J'astique la table et elle astique mon cul tantôt avec tendresse et tantôt violemment. C'est bon, j'adore, je suis humilié rendu à des travaux de ménage et défoncé comme il se doit, les jambes bien écartées, le cul en l'air et les chaussures au bout de mes pieds. Fantasme des hommes de baiser une femme en la tenant par les talons, mais la salope c'était moi et finalement j'adore cela.

Après la table, rebelotte sur le plan de cuisine à essayer de le rendre propre pendant que Maitresse m'encule pendant un temps qui m'a paru interminable. C'était fort, c'était bien mais quand cela s'arrête, j'avoue, j'apprécie aussi. Je peux considérer que c'est Maîtresse qui m'a dépucelé et c'est elle qui prend le temps de bien me dilater l'anus pour me pénétrer comme il se doit. Bien dilaté, je prends un certain plaisir et mon sexe mouille, il dégoulinemême comme une bonne grosse salope. Je n'ai pas utiliser mon safe Word pour qu'elle prenne son pied. D'ailleurs c'était ma dernière possibilité de l'utiliser. La prochaine fois, je n'y aurai pas droit, bon une angoisse de plus pour moi, un kif supplémentaire sans doute pour ma Maîtresse. Retour à quatre pattes, la tête au sol, je dois m'enfiler un plug de taille très raisonnable dans le cul. Il est argent avec un diamant bleu au bout, une vraie parure comme si on m'offrait un bijou, cool et c'est avec élégance que je me l'enfile. Putain, c'est bon ! j'aime ce plug.

Elle fait du bruit à la cuisine, je me demande ce qu'elle prépare, je me demande quels sont les nouveaux instruments qu'elle a préparés. Quand on n'a pas le droit de regarder, c'est fou le nombre de choses qui nous passe par la tête. J'entendais un bruit métallique à la cuisine. Elle faisait simplement à déjeuner, n'ayant pas mangé moi même j'ai eu la chance de pouvoir manger dans une gamelle les restes de Maîtresse. Au départ j'ai eu peur d'avoir de la nourriture pour chien , là, je l'avoue, aurait été la limite. J'ai du tout avalé en me servant uniquement de ma langue le cul en l'air un plug enfoncé et ma Maîtresse tranquillement installée sur sa table basse pouvant admirer sa pute. Ça, c'est humiliant mais plus elle m'humilie et plus je prends mon pied.

Dernière partie de notre rencontre à été pour moi le graal

Assis le plug bien enfoncé dans mon derrière, elle m'a attaché à sa grande chaise en métal les bras en l'air, les cuisses bien écartées et attachées avec de la corde et relevées pour être bien offerte comme elle dit maîtresse. J'ai eu le droit à sa dernière trouvaille une cordelette en coco rêche attachée autour de mon sexe. J'ai bandé de suite c'était très excitant. Elle m'a bandé les yeux et mis des pinces sur mes tétons. Le kif total ! J'aurais aimé prendre une photo pour me voir comme une bonne grosse pute offerte comme une bonne salope qui se donne. Là elle a sorti mon copain "Hitachi" celui qui vibre sur votre sexe en érection. Et là j'ai profité pleinement dans ma tête du spectacle. Pendant au moins 15mn, j'ai été masturbé et Hitachi a vibré de longues minutes sur mon sexe. Je mouillais, je dégoulinais, j'étais au nirvâna mais je n'éjaculais pas, c'était trop bon. Miraculeusement ou pas, cette cordelette coco m'empêchait d'éjaculer. C'était long c'était bon, c'était jouissif. Pour une fois c'est maîtresse qui m'a demandé d'éjaculer. J'étais fier de moi j'avais résisté. C'est la libération de cette cordelette qui m'a permis d'offrir à ma maîtresse une grosse et longue éjaculation ou je lui ai offert jusque la dernière goutte.

Cela a été pour le moment ma séance préférée

Merci maitresse pour ce joli moment.

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