C’est la première fois que ma maîtresse m’a donné des ordres pour toute la semaine. Jusqu’à maintenant, je devais porter ma cage, lorsque je venais la voir et parfois une journée au bureau avec une photo à l’appui le matin et le soir indiquant le même numéro de cadenas plastique, lui montrant ma totale obéissance et pour elle, la frustration de me voir avec un sexe sous clef et une certaine humiliation et appartenance.
Il faut avouer que porter une cage en silicone en pleine semaine caniculaire est un exploit. Votre sexe se retrouve confiné dans un tube plastique chaud et le cercle qui entoure vos boules et votre sexe apporte quelques petites irritations du fait de la transpiration due aux fortes chaleurs. Mais un ordre de sa maîtresse s’exécute et ne se discute pas.
Cette cage, je ne peux la porter que la journée. Cette expérience de soumis, ma famille n’est pas au courant, c’est une démarche personnelle.
Une motivation dès le matin, vite mettre cette cage le plus tôt possible pour le plaisir et le désir de ma maîtresse. Arrivé au travail, je glisse délicatement ma cage cachée dans une armoire dans la poche de mon pantalon, ce qui déjà vous met une certaine angoisse et pression de « pourvu que personne ne voit ou s’imagine … ». Je me rends aux toilettes. Pendant 5/10 minutes je me bats avec mon sexe déjà bandant à l’idée de ce que je dois faire et l’excitation du moment présent pour l’enfermer dans cette cage. Heureusement les toilettes sont dans le couloir et il y en a plusieurs pour les hommes sinon bonjour l’angoisse de savoir que plusieurs hommes attendent leur tour.
Le fait d’avoir un sexe en suspend toute la journée dans un tube en silicone, permet de bander régulièrement, d’avoir le sexe en feu. Il n’est jamais au repos comme blotti au chaud dans son caleçon, il effleure sans cesse les parois du tube et se met à bander de suite. Cette sensation diminue ou disparaît peut-être pour un soumis qui porte sa cage en permanence. Assis au bureau, le cercle vous serre le sexe en permanence, et en changeant régulièrement de position, votre sexe se met à bander en permanence, et bander 8h non stop… c’est le pied.
Vis-à-vis de ma maîtresse, je respecte ses ordres et ses désirs pour son plaisir et éviter les punitions.
Un matin je m’en souviens, je n’ai pu mettre ma cage qu’au environ de midi. Pouvant être surveillé en permanence par l’ordre d’envoyer une photo dans les 3mn, et par fidélité et obéissance, j’ai préféré lui avouer. La réponse ne s’est pas fait attendre : me fouetter les fesses pour qu’elles deviennent rouges et bien sûr envoyer une photo. Inutile de vous dire que de trouver l’objet qui vous permettra de répondre à l’ordre de votre maîtresse, m’a occupé un bon moment (la peur s’en doute de ne pouvoir répondre à sa requête). Heureusement, une règle plate en plastique de 30 cm à fait l’affaire. Se fouetter le cul pendant 5/10 minutes, je l’ai fait pour ma maîtresse, mais on se sent petit garçon qui a fait une faute et qui se fait gronder comme un vilain garnement, sauf que je suis adulte et c’est un sentiment complètement dingue de se dire « tu te fouettes le cul seul » comme un con. Mais j’essaye d’être une bonne pute. Et puis cette domination à distance, ces frustrations, ces humiliations constantes qui vous rabaissent, déclenchent en vous une excitation qui n’est pas contrôlable et tellement jouissive. Pouvoir jouir psychologiquement toute une journée par des jeux, des mots, des ordres avec en plus un sexe en délire, c’est inexplicable mais que dire à part ouah hou !!!
Comment peut-on être à la fois rigoureux et dominateur avec ses employés et se laisser traiter comme une pute par sa maîtresse. Sûrement un besoin à un moment de sa vie de savoir qu’il y a plus fort psychologiquement que soi. Evidement c’est un choix personnel, rien ne m’y oblige. Vous êtes rabaissé comme « une sous-merde » mais finalement cela vous apporte un équilibre de savoir qu’à votre tour, une personne peut prendre le dessus sur vous, tout en étant conscient de la connerie avec lequel vous vous donnez en spectacle : cage, punition, féminisation, à l’état de pute sodomisée, bafoué, humilié, traité comme un moins que rien.
Pour agrémenter la semaine, ma maîtresse m’a demandé de me masturber tous les soirs sur le bureau d’un de mes collaborateurs après leur départ, d’éjaculer sur le bureau, de prendre une photo de son sperme et de lui envoyer bien-sûr comme preuve. Le pire c’est que je dois ramasser ma semence et la mettre dans un récipient et lui apporter à notre prochaine rencontre. Elle appelle cela « la traite d’une vache ». La prochaine fois va-t-elle me demander en sa présence d’avaler mon sperme après éjaculation, je crains un jour de ne pouvoir y échapper…
Ce qui est amusant, c’est de voir le collègue de travail le lendemain assis à son bureau sur lequel vous avez éjaculé. Je n’y ai vu que du plaisir à le faire, imaginant que j’aurai pu faire l’amour avec ces femmes sur le bureau c’est très excitant. Le bureau des hommes c’est juste une façon de dire « si tu savais pauvre gars que j’ai sali ton bureau en éjaculant dessus ».
Jeudi une demande particulière. Je dois écrire sur mon corps : » aXelle de Sade vous présente sa pute ». Je dois apporter une touche de déco personnel et lui envoyer la photo. Si elle ne lui plait pas, je serai convoqué et je devrai continuer l’exercice jusqu’au 15 juillet.
Je pensais avoir fait le plus dur en jouant sur les couleurs et en apportant une touche de déguisement vulgaire que ma maîtresse m’a demandé d’acheter. Au final cela ne lui convient pas. Je suis donc convoqué la semaine prochaine sans savoir ce qu’il m’attend….. tant pis pour moi.
C’est frustrant, on obéit, on exécute, on y met de la volonté et au final, une sanction !! On verra bien.
Ma semaine se termine vendredi. Une dernière photo d’éjaculation sur un autre bureau, je remplis une dernière fois le récipient, et je vais lui envoyer une nouvelle photo plus artistique de « aXelle de Sade vous présente sa pute ».
J’ai les couilles vides. Ejaculer toute la semaine vous laisse en fin de semaine deux petits raisins de Corinthe bien mous et raplaplas. Je commence à entrevoir que si je suis encore dans le jeu, ce n’est pas le cas de ma maîtresse. Elle a une pute à éduquer, mais elle est exigeante. La docilité et répondre à ses ordres ne lui suffisent pas. Elle veut une pute qui tende vers l’excellence, qui soit au top pour sa maîtresse, qui se bouge le cul et ne se contente pas du minimum.
Je vais donc répondre à sa demande, je n’ai pas forcément envie d’être puni. Mais la tâche reste dure. Demander à un homme de savoir s’habiller en salope et en pute, avec de l’élégance et de l’érotisme voire du romantisme, et savoir répondre à ses photos en apportant une touche artistique, voire autre chose… va me demander de travailler sur moi-même pour apporter à ma maîtresse une certaine perfection, la fierté qu’elle aura d’avoir donné une bonne éducation à une bonne chienne bien soumise. Elle s’applique à éduquer sa pute mais elle veut une belle pute racée, bien soumise, classe, élégante et raffinée.