Aujourd'hui après une longue absence maîtresse me convoque pour 18 H. Je me présente comme d'habitude pour découvrir le nouveau look de maîtresse toujours aussi sensuelle. Je connais les instructions : je me lave les mains, me déshabille pour me présenter nu devant maîtresse.
C'est ainsi, débout nu devant maîtresse les jambes écartées que maîtresse m'annonce qu'aujourd'hui je vais servir de cobaye. Je sens maintenant la présence de cette nouvelle inconnue que maitresse appelle A, dans mon dos. Avec un malin plaisir, maîtresse lui demande si, selon elle, je serais autorisé à la voir ou non pour cette première séance. Déjà bien initiée, cette jeune dominatrice commence à me bander les yeux.
Je comprends donc que je n'aurai pas le droit de la découvrir pour l'instant.
Me voilà donc maintenant, debout, nu, les bras croisés derrière la nuque, offert comme maîtresse l'a exigé, un bâillon dans la bouche et mon collier d'appartenance posé. Je ne peux qu'entendre maîtresse et A échanger sur le choix et la qualité des ustensiles qu'elles me destinent. Je comprends maintenant qu'elles ont décidé de tester les capacités de A à utiliser la cravache et le martinet. Commence ainsi une séance a deux puis quatre martinets que je ressens simultanément sur l'ensemble de mon corps.
Me laissant à peine reprendre mes esprits, pour ma récompense maîtresse autorise A à retirer mon bandeau pour l'apercevoir.
C'était sans compter sur la perversité de maîtresse qui décide de mettre sa main devant mes yeux pendant que son élève, tellement proche de mon visage ne me laisse qu'entrevoir le haut de son visage. J'aperçois à peine un très joli regard. Pour le reste de cette séance éducative, me voici à nouveau avec un bandeau sur les yeux.
Maintenant, maîtresse et sa complice décident de m'envelopper entièrement de cellophane pour m'empêcher tout mouvement et utiliser mon corps comme elles le souhaitent. Ainsi, incapable du moindre mouvement, mes maîtresses décident de m'allonger par terre, et commencent une série de jeux pervers, utilisant tour à tour le chaud et le froid pour se réjouir de mes réactions et mes angoisses. Je ressens la cire chaude, dont le gouttes me font sursauter, mais aussi la glace sur mon sexe, puis le chaud. Quelques gouttes sont maintenant versées dans ma bouche laissée entre-ouverte. Pendant ce doux supplice, une main prends mon sexe pour exercer une masturbation à un rythme imposé. Dur dur de ne pas jouir. Car bien sûr je n'ai pas encore l'autorisation de maîtresse. Je me retiens, mais malgré tout mes efforts, je n'arrive pas contenir mes spasmes. Il semble que je salisse les mains de A. Je ne sais même pas si j'ai éjaculé ou pas, tellement mes contractions pour me retenir ont été fortes. Quelques minutes plus tard, la masturbation reprend. Elle se fait plus douce. Il me semble maintenant reconnaître le traitement de maîtresse pendant que son élève est assise sur mon visage maintenant. Sa respiration se fait plus rythmée. Je supplie maintenant maîtresse de m'autoriser à jouir. Elle me dit compter jusqu'à 30, passé ce délai la jouissance ne sera pas autorisée. Heureusement je m'exécute pour une libération me permettant maintenant de retrouver mes esprits.