Mercredi, cela faisait 8 jours que j'attendais de venir chez vous pour essayer de me rattraper. Comme je vous l'ai dit, la semaine d'avant vous m'aviez laissé dans un état de frustration incroyable, vous étiez magnifique, au départ d'excellente humeur, il faisait chaud, votre tenue le prouvait (doux euphémisme), je passais l'aspirateur tout en essayant de vous entrevoir, et tout en sachant que ma tâche finie, je devrais m'en aller tout excité sans rien demander, que si je me plaignais c'était l'assurance de ne plus vous revoir... Et qu'il faudrait attendre 8 jours pour pouvoir à nouveau me présenter à vous. Bref, ce fut un supplice, et vous téléphoniez à une amie, pendant que je regardais vos inaccessibles transparences...
Alors quand j'ai eu des problèmes de vélib (je ne reviendrai pas dessus) et que j'ai compris que j'allais arriver en retard, j'étais vraiment angoissé à l'idée que vous me refusiez l'accès et que je ne vous revoie plus... Donc avant toute chose, merci infiniment de ne pas m'en avoir tenu rigueur ! Je pense que ce jour là, j'étais prêt à avoir les fesses intégralement striées par votre canne plutôt que de m'en aller, alors quand vous m'avez obligé à dire "Merci Maîtresse" après chaque punition, c'était un merci vraiment sincère.
Ensuite c'est vrai, je ne m'attendais pas à ce que vous soyez accompagnée de vos amies, mais c'est vous qui choisissez comment m'utiliser, avec qui, et j'aime ce côté directif. Tout comme j'aime votre façon sensuelle de m'imposer ces positions indécentes voire vulgaires, ces marques sur mes fesses qui ont finalement disparu en même pas 2 jours, cette exhibition imposée face à ces deux inconnues, mais vraiment, ce jour-là, vous pouviez tout me demander. J'aurais pu supporter 5 fois plus de coups de canne, des positions plus obscènes (y en avait-il ?...), tous vos désirs pourvu de vous convaincre de me garder à votre service. J'ai juste peut-être commis une petite faute en partant, car j'ai commencé à vous demander une faveur, mais je me suis vite arrêté pour ne pas encore tout gâcher.
En effet, je suis encore reparti de chez vous frustré, vous êtes belle et vous le savez, vous ne portez jamais de sous-vêtements et vous le savez aussi, vous savez l'effet que cela provoque, et vous devez sûrement savoir que je rêvais de pouvoir jouir, peut-être avais-je un peu honte devant vos amies, c'est embarassant de devoir quémander, encore plus en public. Et encore sûrement plus embarassant de devoir "nettoyer" devant elles, mais comme vous devez vous en douter ceci est un problème qui ne se pose qu'une fois que l'on a joui; avant, ça paraît un moindre mal, après, c'est vraiment humiliant et un peu dégoûtant.
Mais bon, au final c'est un honneur de perdre sa pudeur pour vous, de s'exhiber pour vous, de s'en remettre à vos choix, d'accepter des marques pour vous, d'accepter de faire des choses que je considère dégoûtantes, d'être frustré juste pour vous, de dépasser ses limites pour vous satisfaire, vous et votre entourage. En un mot, d'être votre esclave et faire ce que vous me dites