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  • popa a

Hard session

Comme toujours j’entame cette relation de ma dernière expérience avec Maitresse Axelle avec un retard certain. Quatre mois se sont écoulés depuis notre rencontre. Ce n’est pas de la procrastination. Je préfère laisser passer le temps, laisser s’estomper les détails pour ne retenir que les sensations et le vécu.

Le principe de cette visite à maitresse Axelle était acquis de longue date. A la lecture de mon compte rendu précèdent, maitresse Axelle m’avait répondu qu’elle savait déjà le thème de notre prochaine rencontre. Qu’avais-je pu révéler dans cette rédaction ? déjà 8 mois que je me pose la question. Malheureusement un faux mouvement et le blocage lombaire qui s’en est suivi m’a contraint, au dernier moment, à avertir la Maitresse d’un très net manque de souplesse, l’obligeant à modifier ses plans.

A l’heure dite je suis à l’adresse désormais habituelle. J’attends, le temps passe, sans nouvelles. Cette attente du dernier « moment », est toujours particulière. Un mélange d’angoisse devant l’inattendu, d’excitation et d’hésitation. Il n’est pas encore trop tard pour garder le contrôle, le renoncement est alors encore possible. J’ai l’impression que les gens qui vaquent dans la rue me regardent intrigués. Qu’est-ce que je fais là à faire les cent pas? se doutent ils de quelque chose ? je sens les regards sur moi et crois ressentir le reproche d’une certaine perversion dans ce monde de convenances.

Trahie par la technologie, Maitresse est obligée de m’envoyer quérir par un messager mettant fin ainsi à cette période très particulière de « l’avant ». Me voici en haut des marches du colimaçon. La voix de maitresse Axelle m’invite à descendre.

Pour la première fois je suis directement accueilli par maitresse Axelle. Nos deux rencontres précédentes avaient débuté par un prologue qui m’amenait à ne la découvrir qu’une fois la séance bien lancée.

Reprise de contact fort agréable. J’ai en face de moi une femme dont on regrette de n’être que le jouet éphémère et finalement anonyme un brin dépersonnalisé par l’usage du pseudo. La voix est à l’instar du regard à la fois douce et amusée, presqu’ironique. Cette dernière caractéristique est essentielle, outre qu’elle est d’une beauté naturelle qui fait qu’on rêve en la quittant de simplement la revoir, Maitresse Axelle ne montre aucune lassitude ou ennui routinier à dominer. Elle semble s’amuser de vous voir devant elle, soumis au sens originel du terme. Elle sait qu’elle va avoir barre sur vous pendant un après midi. Elle sait déjà ce qu’elle vous a prévu et semble se réjouir par avance du bon tour qu’elle va vous jouer.

Après le rappel des règles et mots de sécurité je suis invité à me mettre en tenue.

Un poignée de minute avant, ayant tout ôté, montre et chaine compris je suis face à maitresse, habillé d’air, debout jambes écartées ainsi qu’il se doit.

Je découvre une autre qualité de Maitresse Axelle : elle a de la mémoire ! Elle me fait remarquer narquoisement que je me suis laissé aller et que j’ai eu pendant les 12 derniers mois une évolution de silhouette qui n’est pas à mon avantage. Défaut un tantinet contrebalancé par le fait qu’elle constate que j’ai adapté mon système pileux intime pour les besoins de ce moment.

Qu’à cela ne tienne, malgré ma surcharge pondérale je suis sommé de prendre une pause suggestive, sexy… Consternation ! voila un truc auquel je n’ai jamais pensé… Comment du haut de mes 193 cms et 105 kgs trouver une posture qui me transforme en apollon tentateur. La première tentative est un échec flagrant. La moue de maitresse Axelle, plus que dubitative vaut tous les commentaires. Je fais une deuxième tentative… ce n’est pas un franc succès mais au moins j’ai droit à un sourire d’encouragement.

Maitresse, explique alors qu’elle a l’intention de m’exhiber en public, sur le web mais qu’elle attend pour ce faire l’assistance d’une autre maitresse. Aussi pour passer le temps elle me propose un petit intermède musical et m’expose le principe du « boléro fessée ».

Le Boléro tout le monde connait. Non pas le vêtement mais l’œuvre de Maurice Ravel. Si vous vous en souvenez c’est une scie musicale, œuvre pour ballet, au tempo invariable mais qui va crescendo jusqu’à la finale. Pendant 17 minutes ( oui, 17 dans sa version intégrale) c’est la même ligne mélodique qui se répète. Pas de fioriture, 16 mesures répétées à l’infini ou presque.

Et bien le boléro fessée c’est la même chose. Pendant 17 minutes (la version utilisée par Maitresse a un tempo un peu plus rapide et ne dure que 14 minutes et quelques), vous êtes en travers des genoux de maitresse Axelle et elle s’applique, des deux mains, à battre le tempo et suivre l’intensité de la musique et ceci sur votre postérieur offert sans protection d’aucune sorte.

14 minutes de fessée sans discontinuer, c’est long, et nonobstant l’évolution du carminât de mes fesses, je ne puis m’empêcher entre deux gémissements contenus, d’admirer la résistance de ma tourmentrice qui, a aucun moment, ne fit mine de cesser ou de se reposer. Le final se termine bien en apothéose, par des coups à pleine force dont je garderai le souvenir visuel quelques jours. Je ne puis m’empêcher de penser qu’heureusement elle n’a pas choisi Carmina Burana ou also spracht zarathoustra avec leurs partitions de percussions dantesques.

Je me relève, plus besoin de feu arrière pour renter de nuit, j’ai le cul écarlate !

Maitresse reprend son souffle et moi mes esprits… elle me prépare alors à la suite du programme, Cagoulé et les testicules enserrées par un lien je suis amené vers une table où je me couche sur le dos, jambes pendantes , attachées en compas et bras liés aux pieds de tables par-dessus ma téte. Sue ces entrefaites, arrive la seconde maitresse, qui prend le temps de s’installer et de se préparer, vérifie que j’ai bien ce qu’il faut là où il faut et réajuste les liens.

Un plug vibrant trouve sa place naturelle provoquant dans tout mon bassin des tremblements et contractions difficiles à contrôler.

Maitresse Axelle indique alors qu’elle n’a pas eu le temps de déjeuner, et qu’elle va s’offrir avec son amie les plats d’un traiteur italien, que je leur servirai de table, et que la toile appréciera la qualité du menu, de la vaisselle et du mobilier tout à la fois. Pourquoi la vaisselle ? car comme pour les moines bénédictins (la comparaison s’arrête là) dont l’écuelle était taillée à même le bois de la table, mon corps servira tout à la fois de table et d’assiette. Heureusement, c’était un repas froid… très froid même pour ce qui est des boissons que les tremblements signalés plus haut ne contribuent pas maintenir dans la verticalité susceptible d’en sauver le contenu.…

J’ignore la nature du menu mais visiblement que des mets et aliments tendres, fourchettes et couteaux s’activent sur moi sans douleur particulière, s’égarant parfois, en fin de repas, vers des parties de la « table » dont la planéité naturellement perfectible a tendance à se dégrader quand elles sont sollicitées par le passage appuyé d’une fourchette ou d’une main inquisitrice.

Rien n’y fait, l’audience sur le Web ne décolle pas… c’est un bide. Les deux maitresses décident alors de passer à une action plus susceptible d’attirer le chaland.

Je suis toujours dos sur la table, les bras tirés vers le haut mais mes jambes toujours écartées sont désormais en l’air non pas à 90 degrés mais sur quelque chose qui doit être plus près des 120 degrés. En d’autres termes, l’accès tant aux différentes parties génitales qu’annales est désormais grand ouvert !

Le gode vibrant a rendu l’âme. Il est derechef extrait et remplacé par des olisbos de taille tout à fait raisonnable d’autant qu’une lubrification idoine a été assurée. Je m’apprête à une bonne séance annale quand maitresse Gladys à qui maitresse Axelle vient d’expliquer le Bolero fessée décide d’inventer, le « boléro couilles ».

Pas besoin de vous faire un dessin : on reprend le boléro de Ravel, deux cuillères ou autre objet contondant, chacune se met d’un coté, on positionne la caméra de manière à ce que l’auditoire puisse mieux profiter de l’épisode et on recommence sur les couilles livrées sans défense, à battre la mesure et respecter l’évolution de l’intensité de la musique.

J’avais trouvé pour le boléro fessée que 14 minutes c’était long… sur les testicules, c’est interminable.

J’ai beau essayer de gigoter pour mettre à l’abri des coups ce que je peux… rien n’y fait, le supplice dure sans faille ni interruption, comme l’intensité il va crescendo. Je me retiens de ne pas hurler sur la fin… Bien que je soupçonne les deux maitresses d’avoir retenu leurs coups, le final est interminable, j’ai depuis longtemps dépassé les stade de l’inconfort pour atteindre celui de la douleur, j’ai les larmes aux yeux.. Certains internautes intervenant en cours d’exécution de l’œuvre demandent ce que j’ai bien pu faire pour mériter pareille punition… je le jure je n’ai rien fait… je me suis juste mis entre les mains de maitresse Axelle, à elle d’user de moi à sa guise, à la recherche semble-t-il de mes limites !

Enfin la dernière note… l’audience sans jamais être extraordinaire est un peu montée, mais si les internautes ont apprécié le spectacle, ce ne sera pas assez pour les amener à lâcher quelque tokens.

On décide que j’ai le droit de souffler un peu. Je réalise alors qu’un troisième personnage est arrivé. Je suis jambe écartées et parties intimes exhibées, face à un représentant de la gent masculine Nous l’appellerons maitre G. Je suis toujours cagoulé, et je l’imagine examinant mon sexe, peut-être l’a-t-il déjà saisi ou évalué, soupesé… C’est une situation très inhabituelle pour moi.

Maitresse décide qu’il est temps d’essayer autre chose pour attirer les internautes. Elle entreprend de compléter la lubrification de mon anus. Y introduit un puis deux doigts. J’entends au bout d’un moment maitre G lui dire que la dilatation doit être suffisante avec trois doigts insérés… !

Maitresse vérifie immédiatement. Maitre G est derrière moi et maitresse entre mes jambes. Sa proximité immédiate me laisse penser qu’elle me pénètre à coup de gode ceinture, se retirant à intervalle régulier pour augmenter progressivement le diamètre de l’objet. Coté audimat, j’ignore les statistiques mais il est clair que malgré la perspective d’une suite attrayante aucun internaute n’offre de token. Maitresse met alors fin à la connexion.

Maitresse Axelle et maitre G échange de loin en loin des propos, auxquels je ne prête pas attention, jusqu’au moment ou je réalise, alors que mon cul subit des assauts sans équivoques, que la voix de maitresse me parvient de derrière…L’explication me saute aux yeux : Pour la première fois de ma vie je me fais proprement et simplement sodomiser. Comprenez pas par un objet en caoutchouc ou autre matière inerte, mais par un sexe d’homme.

Ma confusion est alors totale. C’est une expérience que j’étais prêt à tenter , mais que je n’osais même évoquer. Maitresse a une fois de plus choisi et décidé pour moi. Je n’ai pas voix au chapitre !

Maitresse décide alors de partir pour un « marathon sodomie ». On quitte la métaphore musicale pour la sportive. Un marathon c’est 42 km et 195 mètres. Ce seront donc 42 minutes et 20 secondes de sodomie non-stop.

Je suis enfin descendu de ma table. Un bâillon gode m’est inséré dans la bouche. Un bref instant je recouvre la vue pour permettre à maitresse de m’explique que c’est à son tour de prendre du plaisir.

Top départ : De nouveau aveuglé, je sens mon fondement réinvesti par maitre G tandis que maitresse Axelle s’est positionnée devant moi de manière à ce que j’utilise à son profit le fameux bâillon gode.

Ce n’est pas aussi facile qu’il y parait. Le bâillon gode a tendance à m’échapper tandis que j’ai du mal à coordonner ce qui se passe à l’arrière, avec ce que je suis censé réaliser à l’avant.

Je mords franchement le bâillon gode pour le maintenir et finit par entendre Maitresse dire que c’est beaucoup mieux ; qu’il y a enfin du rythme et de la profondeur. La bouche pleine je ne peux lui dire que je n’y suis pas pour grand-chose. A l’arrière les choses se sont accélérées et amplifiées. Maitre G me pistonne avec entrain. Ce mouvement se transmet dans tout mon corps (je suis à 4 pattes) jusqu’à ma tête et au fameux bâillon gode qui du coup semble parfaitement remplir son office. En fait je ne suis que courroie de transmission, Maitre G et Maitresse Axelle font l’amour, à distance, comme par procuration. Je reçois de l’un et donne à l’autre !

Une petite pause pour souffler et hop on repart. Bâillon gode d’un côté, sexe de l’autre. Du moins est-ce que je crois jusqu’à ce qu’une voix féminine venant de l’arrière s’inquiète de savoir si à l’avant c’est agréable et qu’une voix masculine lui réponde « non il y mets les dents » ! catastrophe ! ils ont inversé les positions et ce n’est plus un gode en caoutchouc que je mord désespérément mais le membre de ce pauvre maitre G qui ne semble pas franchement apprécier ! je n’ai sincèrement pas vu réalisé leur permutation! Comme le chat rentre les griffes je masque les dents derrière les lèvres et relâche la pression.

Les kilomètres s’enchaînent. Je ne sais plus qui est où… Arrivé à peu près au trentième kilomètre ( le fameux mur ?) ma cagoule décide d’aller voir ailleurs et maitresse me montre un double dong qu’elle m’enfile immédiatement, se mettant à l’autre bout. Nous voici fesses contre fesses tandis qu’entre deux photos du tableau, qualifié de très esthétique, maitre G me remet son sexe dans la bouche pour continuer la fellation interrompue. C’est de la folie ! j’ai depuis longtemps lâché prise, passant de l’orgasme pur à un état extatique. Mes deux partenaires dominants semblant eux-mêmes un peu essoufflés de cette folle cavalcade.

Maitresse décrète une pause. Constate alors que nous ne sommes qu’au quarantième kilomètre mais décide que nous franchirons là la ligne d’arrivée.

Elle demande à maitre G de nous laisser en tête à tête… Simple renversement de position me direz-vous. Cela me donne l’occasion de mieux voir maitre G et de me faire une réflexion inattendue : si le dicton est vrai… il doit avoir une toute petite voiture !

Après quelques minutes de repos , maitresse m’allonge par terre sans entrave et entame une longue session de torture des couilles m’indiquant qu’elle cessera que quand je le lui demanderai.

La session est intense. Je me tort ; essaie d’échapper aux mains qui me torturent mais maitresse Axelle assise sur le sol à mes côtés m’immobilise. Je gémis, doit surement parfois crier sous la rudesse des couts sur cette partie ô combien sensible, mais je ne renonce pas. J’agrippe et serre de ma main gauche ce que je trouve pour mieux supporter la douleur. Je ne réaliserai que tardivement que je suis en train de serrer le pied nu de ma tortionnaire.

Celle-ci me regarde me tordre et m’agiter, toujours amusée et observatrice. Elle finit par me dire quelque chose comme quoi elle est fière de ma résistance… en fait il s’avérera que celle-ci est à partir d’un certain stade un peu forcée…

Maitresse décide de me faire découvrir de nouveaux moyens de torture des couilles : tout d’abord les élastiques mais surtout les orties… Ah les orties !! quelle expérience : C’est tout d’abord très doux pour très vite se transformer en une cuisante sensation de picotement dont l’intensité va croissant. Le stock d’orties fraiches semble inépuisable et lorsqu’il est jugée qu’une a perdu de son pouvoir urticant elle est aussitôt remplacée. J’ai l’intérieur des cuisses, le sillon fessier et le sexe en feu et pour être certaine que j’ai bien ressenti la sensation, maitresse me décalotte délicatement et passe non moins délicatement les feuilles velues sur le gland ainsi découvert…

A ce stade nous décidons d’un commun accord de mettre fin à cette séance qui aura quand même duré près de 4 heures.

Quatre longues heures durant lesquelles maitresse Axelle a exercé sur moi tout son talent, son imagination et sa grande maitrise de la domination, alternant les pratiques les plus hard et les moments de quasi-douceur, me mettant dans des situations inédites. Avec elle l’inattendu est la règle. Mieux vaut abandonner tout désir de piloter quoique ce soit quand vous vous confiez à elle.

Après lui avoir fait mes adieux sur un engagement de ma part et une perspective d’une prochaine rencontre, je suis retourné à mon hôtel. Une heure de métro environ…. Et j’ai alors découvert que la séance n’était pas terminée : les orties c’est déjà très particulier, mais se retrouver dans la moiteur du métro parisien, en plein mois de juillet, par une température qui doit dépasser les 35 degrés dans les rames, avec les vésicules urticantes encore en pleine action et tout ce petit monde qui macère….je vous conseille d’expérimenter… C’est très particulier !

COMMENTAIRE D'AXELLE DE SADE :

Je vois Popa'a une fois par an, en juillet. Pour lui, je prépare des scénario complexes, voire alambiqués, des mini subspace qui durent 3 ou 4 heures avec plusieurs intervenant.es.

Pour notre rdv de juillet 2018, les conditions physiques de Popa'a m'ont obligé à modifier mes plans au dernier moment, alors que j'avais prévu une petite ballade originale (projet reporté à juillet 2019)

Popa'a est un explorateur téméraire : notre 1er rdv était un kidnapping de rue.

Avec lui, je peux mettre en place des jeux impressionnants. J'apprécie énormément la confiance qu'il me témoigne en me suivant dans mes pérégrinations lubriques...

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