22h30, ce dimanche 9 mai, seul(e) dans mon lit, sur le dos, nu(e), les jambes relevées et écartées, le drap caressant doucement ma peau rasée de près sur l’intégralité de mon corps(à l’exception d’une petite touffe au dessus de mon clitoris de salope), je me masturbe, je me paluche, je branle mon clitoris redevenu verge même si je continue à être la chienne que j’ai été tout l’après midi chez Maîtresse aXelle de Sade. Maîtresse m’a donné la spermission ce soir, quelques heures après notre séance, à la condition que je lui décrive la scène vécue chez elle et à laquelle j’ai repensé pour enfin cracher ma liqueur ... Mais comment choisir parmi les multiples sensations qui ont traversé mon corps, les images à faire rougir la plus expérimentée des sissy, les scènes toutes plus excitantes les unes que les autres que Maîtresse aXelle de Sade et moi avons partagées ? Il faudra que je jouisse deux fois sur moi pour me soulager et parvenir à m’endormir ...
Travelling arrière et retour en cet après midi du 9 mai où je me présente pour la première fois à Maîtresse aXelle de Sade au Trois Mâts.
La pièce est magnifique, très bien éclairée, moderne et spacieuse. De grands miroirs permettent de se voir d’un peu partout. Je suis excitée et, malgré mon expérience en matière de soumission, je suis impressionné(e) et j’appréhende : serais-je à la hauteur ? vais-je lui plaire ? Parviendrais-je à me lâcher ?
Vêtue d’une robe verte et de magnifiques bas noirs Maîtresse aXelle m’accueille et me demande de me tenir sans bouger au milieu de la pièce.
Elle est très belle. De tout son être se dégagent une intelligence, une grâce, une délicatesse, une distinction, un humour et une subtilité qui ne se démentiront pas pendant toute la séance. Mais il y a en même temps dans sa voix, son regard, son attitude une perversité implacable ...
Elle s’approche tout près de moi et passe la main sur mon tee-shirt pour sentir les battements de mon cœur : « cela bat vite, tu es excité(e), c’est bien Emmanuelle » ; elle me demande de retirer mon tee shirt et constate que j’ai déjà mis des sous- vêtements féminins : se collant presque à moi elle effleure négligemment mon entrejambe : « mais c’est bien excité là aussi, pour ce que cela va servir ... ».
Très vite je me retrouve jambes écartées, mains dans le dos pour un interrogatoire complétant la liste des possibles que Maîtresse a lu avec beaucoup d’attention puisqu’elle me demande des précisions sur tel et tel point. Après que j’ai répondu sur les questions de santé, elle s’arrête brusquement et me dit : « Est-ce ainsi que l’on salue sa Maîtresse ? » immédiatement je me retrouve au sol pour embrasser ses divins pieds et ses jambes magnifiques. Puisque je suis à genoux, c’est dans cette position que j’apprendrai les trois règles d’or de la séance et les safewords que Maîtresse m’édicte en croisant et décroisant les jambes, assise dans un fauteuil ... J’aperçois sa peau nue entre ses bas et sa culotte et je mouille déjà ...
Maîtresse me demande alors de compléter ma tenue de sissy (robe, chaussures) et de danser de manière la plus lascive et suggestive possible pour elle, comme si j’étais en club. Elle me donne des conseils, me rappelle de bien me cambrer pour mettre mes fesses en valeur, de me toucher le clito et surtout d’être la bonne salope que je suis au fond de moi ; ça y est : très vite, sa voix, ses remarques me font partir : je veux être la sissy la plus sexy possible, la plus allumeuse, celle qui fera bander les mâles.
Après cette première répétition, Maîtresse désire me filmer ... mais avec un plug gonflable dans le cul. Et comme celui-ci ne tient pas forcément dans mes fesses quand je danse, il faut bien le gonfler pour qu’il ne tombe pas ... Mon anus se remplit un peu plus et je suis excitée comme une folle. Maîtresse acte qu’il est alors temps de passer à un stade supérieur : il faut que je devienne une véritable sissy et elle décide de me maquiller et de me mettre une perruque. Maîtresse me fait asseoir et, pendant qu’elle procède, me met des pinces aux seins. Elle me demande de fermer les yeux ; quand je les ouvre à nouveau, je me vois dans l’un des grands miroirs : je suis stupéfaite de bonheur ! Maîtresse a fait de moi une bonne petite pute, une catin prête à allumer le premier qui lui tombera sous la main.
Nous répétons mes danses et strip tease avant que Maîtresse ne me filme à nouveau : la première séquence est un strip tease érotique ; la seconde figure un show en salon privé pour lequel j’ai retiré mon plug mais me suis munie d’un gode. Je le suce, fais du teasing puis montre à ma Maîtresse comment je l’enfonce doucement dans mon anus qui véritablement mouille : les parois s’écartent, je le sens qui progresse tout au fond de moi sans que j’ai besoin de lubrifiant ... Je suis remplie et j’adore. Je sors le gode de mon cul, le suce immédiatement en gorge profonde pendant que Maîtresse me demande de m’asseoir sur elle ou plutôt sur le gode ceinture dont elle s’est équipée sous sa robe : je m’enfonce jusqu’à la garde et Maîtresse me baise : mes seins, toujours serrés par les pinces à seins, me font délicieusement mal et je vais chercher la bite de Maîtresse en m’asseyant à chaque fois plus profondément sur elle ...
Après un petit moment de pause passé en cage, Maîtresse place cette dernière au milieu de la pièce et me fait monter dessus en position de levrette, les jambes écartées, le front sur la paroi de la cage, les bras pris dans une camisole. Mon cul est ainsi totalement offert : entre les attaches de mon porte-jarretelles mon trou est outrageusement ouvert. Maîtresse y insère un crochet anal relié à des cordes passant par un autre crochet fixé au plafond : Maîtresse tire sur les cordes et me voilà totalement avilie, complètement immobilisée par le cul. Au moindre mouvement de corde, le crochet tire sur mon anus et tout mon corps se cambre un peu plus ... Il n’est pas possible d’être dans une position plus humiliante et plus dépendante. En riant, Maîtresse me décrit ma position puis me dit qu’elle va maintenant vérifier que ma chatte de sissy est bien ouverte et prête pour la fucking machine : maîtresse retire le crochet anal et commence à me doigter, doucement puis avec de plus en plus de vigueur et de plus en plus profondément ... Elle ne s’arrête plus et pour la première fois de ma vie, sans me toucher le clito, je jouis du cul : cela vient des jambes, du ventre, de tout mon corps, du fond de mon être, c’est indescriptible et c’est insupportablement bon ...
Maîtresse me sodomise ensuite avec un gode et j’ai un deuxième orgasme du cul : de mon clito, ne cesse d’ailleurs de s’échapper de la mouille de sperme qui tombe dans une petite assiette que Maîtresse me fera lécher plus tard ...
Maîtresse décide qu’il est alors temps de me livrer à la fucking machine : sur le dos, les jambes relevées par des câbles, mon trou du cul est présenté au gode de ce robot si délicieusement infernal. Maîtresse me remet des pinces aux seins. « Tu es prête à tenir 5 minutes ? On va voir comment tu t’en tires pour une première expérience ». La machine commence à me besogner, doucement puis de plus en plus vite et enfin très vite ... Le gode s’enfonce de plus en plus profondément dans mon anus qui devient une chatte anale : je découvre ce que doivent ressentir les femmes lorsqu’elles se font baiser : plaisir intense et douleur jouissive d’être remplie, défoncée, saccagée, besognée ... À cet instant précis, je bascule, je comprends que je ne suis pas simplement une travestie qui aime se soumettre occasionnellement mais bien une salope jusqu’au plus profond de moi et que j’adore me faire limer jusqu’à plus soif et sans limite : la sissy en chaleur jouit de nouveau du cul ! Je couine, je hurle et d’autorité Maîtresse relance la machine pour cinq minutes supplémentaires. Nouveaux orgasmes ... Mon anus est devenu mon sexe et n’aspire qu’à être rempli en permanence. J’écarte mes fesses pour que le gode rentre encore plus profondément et Maîtresse rapproche la fucking machine de l’entrée de mon trou du cul. Elle lance la machine à vitesse maximale en me demandant si je me sens capable de tenir cinq minutes de plus. Elle a sa tête juste derrière la fucking machine et est aux premières loges pour voir le gode s’enfoncer dans ma chatte ... Je jouis encore en criant que je ne veux que ça, que je ne suis bonne qu’à être fourrée, qu’il n’y a rien de meilleur ... D’un ton rieur Maîtresse me dit : « Ma petite salope, j’ai oublié de lancer le chronomètre, on repart à zéro ». Et c’est reparti ... Maîtresse assiste à cette dernière session confortablement assise dans un fauteuil, les jambes croisées, un verre à la main, me regardant subir les assauts du gode et de la machine et jouir du cul une dernière fois : mon clito est devenu tout petit et mon éjaculation n’est plus primordiale, ce qui m’intéresse avant tout c’est ce que je ressens dans ma chatte anale ... je dois l’avouer : j’aime à la folie être baisée comme une chienne ...
La machine s’arrête ... Je suis démontée, épuisée, ivre de jouissances à n’en plus finir. Je reviens doucement sur terre ...
Reconnaissance infinie à Maîtresse aXelle de Sade qui a su me faire vivre cette transe ... Son sens du détail (elle m’a fait danser sur la musique de Basic instinct car je lui avais dit que ce film était une référence pour moi), son souci de la beauté des mises en scène, l’atmosphère de confiance qu’elle crée et qui nous permet de lâcher prise très vite, la manière qu’elle a de s’approprier un scénario et de l’enrichir, l’hygiène irréprochable ... Tout fut parfait et j’ai vécu hors du temps.
Maîtresse aXelle de Sade a eu l’indulgence de me dire que j’avais du potentiel. J’espère être digne des espoirs qu’elle met en moi et souhaite pouvoir très vite la revoir pour aller plus loin encore dans la chiennerie et la servitude.
COMMENTAIRE D'AXELLE DE SADE :
Emmanuel(le) est une super salope. Son profil m'a rappelé ma Chienne Fiona car elle aime être filmée dans les positions les plus humiliantes, puis que les vidéos soient diffusées, comme un "public disgrace" à retardement.
J'ai construit cette séance-ci en 2 parties : tout d'abord, j'ai appris à Emmanuel(le) à être une bonne strip-teaseuse. Comme j'ai fait plus de 30 ans de danse, je suis assez douée pour apprendre même au plus gauche des soumis.es à de déhancher avec grâce et panache. La posture, la sensualité et l'intention sont les éléments les plus importants. Se mouvoir lentement, entrer en connexion avec la musique et son auditoire sont les premiers enseignements.
Après ce tour de chauffe qui devient surchauffe, je suis alors prête à prendre possession du corps de l'autre. La 2ème partie commence alors ....
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